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                    Alexandra

Je travaille principalement l'acrylique : d'une part pour sa vitesse de séchage qui me permet d'explorer les champs de l'émotion, de l'instantané et du compulsif ; et d'autre part, pour ses qualités picturales telles que l'intensité des couleurs, la brillance et l'opacité, primordiales notamment dans la réalisation des aplats.
J'aime aussi jouer sur les différences de textures, d'où mon attirance pour les collages et assemblages.
A part quelques rares incursions dans le domaine du figuratif, je me réalise essentiellement dans des œuvres abstraites, où tout est possible, où tout est visible et où tout est sensible.
L'indomptable, le sauvage, celui qui se crée de lui-même m'émeut davantage que l'ordre et la discipline. C'est pourquoi je flirte délibérément avec l'accident, la perte de contrôle en usant des jets, tâches et empreintes, sur le chemin de l'inconscient.

Je travaille principalement l'acrylique : d'une part pour sa vitesse de séchage qui me permet d'explorer les champs de l'émotion, de l'instantané et du compulsif ; et d'autre part, pour ses qualités picturales telles que l'intensité des couleurs, la brillance et l'opacité, primordiales notamment dans la réalisation des aplats.
J'aime aussi jouer sur les différences de textures, d'où mon attirance pour les collages et assemblages.
A part quelques rares incursions dans le domaine du figuratif, je me réalise essentiellement dans des œuvres abstraites, où tout est possible, où tout est visible et où tout est sensible.
L'indomptable, le sauvage, celui qui se crée de lui-même m'émeut davantage que l'ordre et la discipline. C'est pourquoi je flirte délibérément avec l'accident, la perte de contrôle en usant des jets, tâches et empreintes, sur le chemin de l'inconscient.

ALEXANDRA D.
Je suis née en 1981 à Rouen en Normandie où j'ai passé une partie de mon enfance. J'ai toujours baigné dans un univers artistique, entourée d'un grand-père plasticien (sorte de Facteur-Cheval) et de ma mère, peintre-sculpteur apologiste de la femme.
J'ai étudié successivement l'Histoire de l'Art à la faculté de Toulouse, les Arts Plastiques à l'Université Paris-Sorbonne et j'ai également effectué des recherches sur l'Art-Thérapie.
Après plusieurs déménagements (Eure, Yvelines, Eure-et-Loir, Cantal et Haute-Garonne), je suis revenue m'installer à Salers, petit village d'Auvergne, dont la sérénité est propice aux réflexions artistiques et à une méditation sur ce monde.

ALEXANDRA D.
Je suis née en 1981 à Rouen en Normandie où j'ai passé une partie de mon enfance. J'ai toujours baigné dans un univers artistique, entourée d'un grand-père plasticien (sorte de Facteur-Cheval) et de ma mère, peintre-sculpteur apologiste de la femme.
J'ai étudié successivement l'Histoire de l'Art à la faculté de Toulouse, les Arts Plastiques à l'Université Paris-Sorbonne et j'ai également effectué des recherches sur l'Art-Thérapie.
Après plusieurs déménagements (Eure, Yvelines, Eure-et-Loir, Cantal et Haute-Garonne), je suis revenue m'installer à Salers, petit village d'Auvergne, dont la sérénité est propice aux réflexions artistiques et à une méditation sur ce monde.

« Produire sans s'approprier,
Agir sans rien attendre,
Guider sans contraindre. »
LAO-TSEU

« Produire sans s'approprier,
Agir sans rien attendre,
Guider sans contraindre. »
LAO-TSEU